Les garagistes sont sympas, et en plus ils savent jouer du klaxon ! C’est l’histoire de trois bûcherons allemands en short qui ont un impact sur leur pare-brise. Ils font venir le réparateur de Carglass. Et comme le gars est du genre jovial, ils se retrouvent ensuite entre hommes, sur le beau gazon de Mémé Hilda, pour une chanson au milieu des nains de jardin.
La rencontre improbable entre le fan club tyrolien d’André Verchuren et un chroniqueur musical d’Auto Plus, vous en rêviez ? Le Top Daube vous a exaucé.
L'esprit de Claude-François n'est pas mort, et pour cause ! C'est tel un Ange d'or et de disco qu'il arpente les coursives d'un sous-marin allemand, heurtant ça et là le corps luisant d'un canonnier ou un saucisson bavarois. La métamorphose improbable de Patrick Juvet en diva du gipsy, ça se passe ici à vingt-mille-lieues sous les merguez.
« Tous les Allemands sont musiciens » chantait Patrick Topaloff, et Silent Circle confirme cet adage visionnaire. En effet le groupe composé du très capillaire Martin Tychsen, d’Axel Breitung et Jürgen Behrens propose dès 1985 une italo-disco joviale et audacieuse, à la confluence parfaite entre Alphaville et les Musclés.
Touch in the night – littéralement touche dans la nuit – c’est le nom de cet opus débridé qui fait la part belle à l’italo-disco saveur batcave comme au vendeur de beignets de Palavas-les-flots. Ambiance chaises longues et canons à fumée, le trio met l’œcuménisme musical au service de la vibra daube ; Casimir au pays de la new-wave qui transpire.