La daube ne connaît aucun tabou, aucune limite. C'est un puissant endoscope social, un spéculum musical glissé entre les charnures de la moralité. Georges de Giafferi n'a sans doute pas connu la Fistinière. Pourtant, cet artiste moite, à mi-chemin entre Anthony Quinn et Christian Marin, nous livre là quelques idées polissonnes pour pimenter les veillées estivales. Et s'il y a pas de donjon au camping de la Grande Motte, vous pourrez toujours expérimenter les coups de badine et la purée de cafards dans la caravane.